vendredi 3 mai 2013

Une belle randonnée livresque!(2)



Ma deuxième randonnée livresque a eu lieu ce mardi 30 avril 2013. Elle a connu le même train-train que la première. A savoir : embouteillage, chaleur, marches, etc. Il n’y a pas eu de changement notable.
La première destination fut le Plateau, quartier des affaires à Abidjan. Avec ses beaux buildings, ses rues bien tracées, ses artères grouillant de monde à la recherche de quoi ? Je ne saurai vous le dire. Je me rends à la librairie de France pour rencontrer M. Médard Prao, responsable de réseaux dans ladite entreprise. Il était absent. Je laisse un exemplaire de l’album Les envahisseurs au responsable du rayon BD qui se prénomme Hugues.
Je pars ensuite en Zone 4(Marcory), à la rue Lumière au siège des quotidiens L’Inter et Soir Info déposer deux exemplaires pour les journalistes responsables du service culture.
De là, sous un soleil de plomb -on y est habitué maintenant (rires), je prends la direction du groupe Fraternité Matin où je laisse un exemplaire au service courrier pour les journalistes du service culture.
Je m’engouffre dans un gbaka (un moyen de transport abidjanais) pour la librairie L’Harmattan Côte d’Ivoire sise à la Cité des arts de Cocody. Question de m’assurer de la disponibilité de mon album Les envahisseurs. Peine perdue ! Il faut encore attendre. Je jette un coup d’œil sur les albums disponibles : Cargaison mortelle, Jungle urbaine, Mokanda illusion, Chronique de Brazzaville… Ma préférence va à l’endroit de Mokanda illusion du congolais Mongo Sisé. Je l’achète. Il faut soutenir les auteurs et la création. C’est pour moi un principe sacré. Ma bibliothèque et des albums encore dans de nombreux cartons le témoignent.
J’emprunte un taxi communal pour me rendre aux Deux-Plateaux, un autre quartier huppé d’Abidjan, à la rue des jardins. Chercher le siège du quotidien Le Jour Plus. Je descends à un carrefour sur le tronçon et décide d’emprunter le onze (faire le reste du trajet à pied). Question de mieux voir et découvrir. Il fallait prendre son courage à deux mains pour faire ce parcours. Car ce soleil de 11h45 mn était torride. Peine perdue ! Après quelques kilomètres, ne trouvant pas le siège en question, je rebrousse chemin et rentre chez moi. Pour un repos bien mérité.
Ah, Les envahisseurs ! Que ne ferait-on pas pour toi, cher enfant ! 

2 commentaires:

  1. Un parcours de combattant pour le Papa des envahisseurs. hahha !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Yes, Mass. Il le faut bien, si les autres veulent pas mouiller le maillot. Hahahaa! Tu en sais quelque chose! Merci d'être passé. A bientôt.

      Supprimer