Ma deuxième randonnée
livresque a eu lieu ce mardi 30 avril 2013. Elle a connu le même train-train
que la première. A savoir : embouteillage, chaleur, marches, etc. Il n’y a
pas eu de changement notable.
La première destination fut le Plateau, quartier des
affaires à Abidjan. Avec ses beaux buildings, ses rues bien tracées, ses
artères grouillant de monde à la recherche de quoi ? Je ne saurai vous le
dire. Je me rends à la librairie de France pour rencontrer M. Médard Prao, responsable de réseaux
dans ladite entreprise. Il était absent. Je laisse un exemplaire de l’album Les envahisseurs au responsable du rayon
BD qui se prénomme Hugues.
Je pars ensuite en Zone 4(Marcory), à la rue Lumière au
siège des quotidiens L’Inter et Soir Info déposer deux exemplaires pour
les journalistes responsables du service culture.
De là, sous un soleil de plomb -on y est habitué maintenant
(rires), je prends la direction du groupe Fraternité
Matin où je laisse un exemplaire au service courrier pour les journalistes
du service culture.
Je m’engouffre dans un gbaka (un moyen de transport
abidjanais) pour la librairie L’Harmattan Côte d’Ivoire sise à la Cité des arts
de Cocody. Question de m’assurer de la disponibilité de mon album Les
envahisseurs. Peine perdue ! Il faut encore attendre. Je jette un
coup d’œil sur les albums disponibles : Cargaison mortelle, Jungle
urbaine, Mokanda illusion, Chronique de Brazzaville… Ma préférence
va à l’endroit de Mokanda illusion du
congolais Mongo Sisé. Je l’achète.
Il faut soutenir les auteurs et la création. C’est pour moi un
principe sacré. Ma bibliothèque et des albums encore dans de nombreux cartons
le témoignent.
J’emprunte un taxi communal pour me rendre aux
Deux-Plateaux, un autre quartier huppé d’Abidjan, à la rue des jardins. Chercher
le siège du quotidien Le Jour Plus. Je
descends à un carrefour sur le tronçon et décide d’emprunter le onze (faire le
reste du trajet à pied). Question de mieux voir et découvrir. Il fallait prendre
son courage à deux mains pour faire ce parcours. Car ce soleil de 11h45 mn
était torride. Peine perdue ! Après quelques kilomètres, ne trouvant pas
le siège en question, je rebrousse chemin et rentre chez moi. Pour un repos
bien mérité.
Ah, Les envahisseurs ! Que ne ferait-on pas pour toi,
cher enfant !
Un parcours de combattant pour le Papa des envahisseurs. hahha !
RépondreSupprimerYes, Mass. Il le faut bien, si les autres veulent pas mouiller le maillot. Hahahaa! Tu en sais quelque chose! Merci d'être passé. A bientôt.
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